Dans un blog qui fait partie de mes lectures matinales (en suédois - oups!) publié par une "auteure" - je déteste la féminisation de ce mot...suédoise, j'ai trouvé il y a trois jours le poème suivant... je traduis, le suédois reste tout de même la langue d'une minorité ethnique :
"Les pauvres marchent nus le long des routes de France
Les pauvres n'ont pas de voiture.
Les pauvres marchent dans la poussière sur le bord de la route
Nous les dépassons dans nos voitures"
J'ai failli m'étrangler... non, mais elle se prend pour qui, celle-là? Et dire que j'aimais bien sa prose, avant... Elle se crois au moyen-âge ou quoi? Je ne peux même pas répondre dans son blog, la dame est trop occupée pour lire les réactions épidermiques de ses lecteurs. Mais je me "désabonne" de son blog, tout de suite. Petite vengeance dont elle ne saura jamais rien. J'allais oublier, la dame s'appelle Bodil Malmsten...
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