Un troll ...

Eh oui, je suis tombé sur un troll dans les pages de FB... et j'ai eu le tort de vouloir discuter avec le troll. Pourquoi? Parce que (je le cite, le troll) : à l’approche du temps des Fêtes (chrétiennes ou nordiques*), force est de constater que ces données rejoignent néanmoins celle sur la neurobiologie de la charité...
Il ne manquait plus que ça - je m'en souviendrai la prochaine fois que je vois une lueur de bonté et de charité chez des êtres humains. Ce n'est que de la neurobiologie... ou quelque chose qui y ressemble.
Et c'est quoi, un troll? Je ne parle pas des individus qui mettent le bazar dans les forums d'Internet. Non, je parle des vrais trolls, les géants qui ont fabriqué les montagnes et les moyens que l'on appelait trolls des montagnes; il y en aurait aussi des plus petits, les vättar...tout dépend de leur origine.
Mais les trolls ne sont jamais sympathiques, que l'on se le dise. Et il vaut mieux ne pas trop les approcher, ils vous changent en pierre en moins de temps qu'il faut pour le dire.

Vive les (bonnes) soeurs!

Entendu l'autre jour à la radio  :
 1) Les garçons qui ont grandi avec au moins une sœur seront des adultes plus indépendants et plus performants que les autres. En un mot, ils apparaissent plus aptes au bonheur que ceux qui n’ont pas de frangine.
2) A l’inverse, les garçons qui n’ont que des frères seraient les plus mal lotis, les moins bien préparés à affronter les rigueurs de la vie.


3) A tout prendre, et à défaut d’avoir une sœur, mieux vaudrait encore être fils unique que de se colleter un ou plusieurs frangins.
Peu importe. On sait désormais que sœur rime avec bonheur.
Et que l'exception ne fait que confirmer la règle...

Tout mais pas ça!

Vous pouvez appeler ceci ce que vous voulez - la démondialisation, du chauvinisme, de la beauferie... mais ça je n'accepte pas! Même si (comme madame Joly) je viens juste de descendre de mon Drakkar et même si nous avons de multiples liens avec l'Empire du Milieu: une petite fille et une nièce (ce qui veut sans doute dire toute une grande famille éloignée dans une province chinoise) - je n'accepterai pas ça. De l'ail de Chine! Je suis atterrée. Et dire que je rêve de l'ail rose acheté au marché de Carpentras, le vendredi matin. Je n'en ai pas eu depuis des lustres.  De l'Argentine, oui, et maintenant - horreur! l'ail vient de la Chine...

Traduire ou trahir?

Il me semble que monsieur Google et ses acolytes, qu'ils s'appellent Babel ou autre'chose, prennent de plus en plus leur place sur Internet et jusque dans les manuels destinés aux utilisateurs d'électroménager ou pire, de médicaments. On vous fournit des textes qu'il faut vraiment avoir fait des études poussées pour comprendre. Tout compte fait, il aurait peut-être mieux valu les laisser dans leur langue d'origine... ou se payer une traduction, une vraie.
Il ne faut pas oublier les trois étapes d'une traduction :
La compréhension du texte, le "gommage" des mots: le stade où l'on les oublie pour mieux les remplacer et leur trouver un sens et, pour finir, la reformulation.
Un vrai travail d'artisan... qu'il serait dommage de laisser faire par un robot.

MasterChef

Ce soir je vais faire monter l'audimat de TF1 en regardant le concours de cuisine de MasterChef - plus réjouissant que la cuisine électorale de hier soir... mais que nous avons tout de même regardé: "ça pourrait être intéressant, qui sait"... Et puis, une pause devant l'écran le soir m'aide à m'endormir, souvent déjà au début du programme, d'ailleurs. C'est pour cela que je m'étonne moi-même quand je reste réveille jusqu'à la fin de "Master-Chef" (le concours, pas les autres même s'ils sont aussi en compétition!)
Aucun des candidats de Master-Chef encore en lice n'a dit son dernier mot et le suspense risque d'être encore total jusqu'au 3 novembre. 

Lieu de perdition

Au propre comme au figuré - existe dans la plupart des grandes villes et attire surtout les hommes qui trouvent des prétextes divers et variés pour y aller - on y trouve de tout - comme à la Samaritaine au siècle dernier - et on en revient souvent tout content ayant dépensé l'argent du ménage en achetant des choses qui vont servir un jour...Je parle de Castorama, bien sûr, et que celle qui n'a jamais attendu que l'homme revienne de la chasse, de la mer ou tout simplement de Casto me jette la première truelle de plâtre... Je me prépare à attendre un bout de temps, nous sommes en automne et les humains se préparent à entrer en hibernation: rendre leurs logements confortables et qui sait, plus gais avant les baisses du mercure... Oh, quelle bourde, ce n'est pas politiquement correct de parler de mercure, substance banni entre toutes. Mais que fait on pour rendre inoffensif un baromètre type baromètre de Torricelli? Il y en a un, pendu au mur, je n'oserai jamais le déplacer parce que nous avons perdu le bouchon qui doit servir justement en cas de déplacement... Et puis flûte, pourquoi se faire du souci, après nous le déluge. Et tout ceci à cause des courses à Castorama...

Tout faux

J'avais tout faux en ce qui concernait le prix Nobel de littérature. On vient de le décerner au poète suédois Tomas Tranströmer - non, pas tout à fait faux parce que je n'ai rien lu de lui non plus... pas très poésie. La Suède jubile, depuis Eyvind Johnson et Harry Martinson en 1974 il n'y avait pas eu de prix dans son pays d'origine.
Petite pensée émue pour Steve Jobs (sa famille d'adoption est d'origine suédoise) - mais Apple continuera comme avant, c'est du moins ce que j'espère.
Et - faire un petit clic sur le titre du message - il me faut une i-poubelle...

Prix Nobel de littérature

C'est jeudi prochain que sera décerné à Stockholm le prix Nobel de littérature : certains noms circulent déjà (en France), le poète syrien Adonis, la canadienne Margaret Atwood et l’américain Philip Roth. J'ai aussi entendu parler de Banville... Mais je peux déjà dire que si l'un des quatre devait être choisi, ce serait le dénommé Adonis. Et pourquoi donc? Parce que je n'ai jamais rien lu de lui et c'est pareil à chaque fois. Y aurait-il un lien magique entre ma "non-connaissance" d'un auteur et le fait qu'il ait le prix Nobel? Certainement pas...

Plein le dos....

Comme on peut l'avoir quand on passe sa vie (enfin sa journée) dans un fauteuil roulant sans tellement de possibilités de changer de position... Après-midi passé à fouiner sur les sites web des fabricants pour trouver l'objet jusque là introuvable avec un dossier inclinable (pour la petite sieste!) mais qui soit tout de même pliable pour entrer dans un coffre de voiture... Dur, dur... Et je ne parle pas des prix. Tant pis, pour une fois je ferais une folie. Mais même à cette condition il reste le poids de l'objet en l'envergure... et les autres problèmes qui vont se poser! Faudra-t-il creuser l'armoire où le lit pour passer entre les deux? Ah non, ce soir tout cela semble bien compliqué...Attendons demain pour y voir plus clair.(peut-être)

Navigare necesse est non vivere

Mais que faire quand tous les navigateurs qui normalement doivent vous laisser circuler sur le web refusent sous des prétextes divers et variés? "Votre navigateur risque de ne pas prendre en compte vos demandes"; "la page cherchée ne peut pas s'ouvrir" et, pire que tout, "intel" nécessaire. Donc, un autre ordinateur va rejoindre le musée déjà bien fourni en ce que j'appelle les supermachines à écrire (calculettes)- au choix. Il doit bien y avoir un moyen de lui mettre ce qu'il faut dans le ventre - mais là, je renonce. Trop compliqué...
Voilà, c'était tout de même une belle journée dans nos montagnes avec juste ce qu'il fallait de soleil, une belle arrière-saison!

Du domaine des Murmures

Du domaine des Murmures

Le temps des prix approche et ce petit livre mériterait bien un - si différent à tous points de vue...

Eté indien ou l'été de la sainte Brigitte?

Selon les prophètes (météorologistes) ces expressions désignent une période de temps exceptionnellement beau et chaud qui se situe habituellement début octobre...Cette année il a un peu d'avance. Un après-midi passé dehors sur la terrasse avec 27° et plein soleil, faut en profiter. Je viens d'essayer un retour au blogging, je ne sais pas si cela durera mais c'est un plaisir qui ne coûte pas cher, un peu du nombrilisme mais j'ai bien l'impression d'être la seule lectrice de ce blog - alors! Je me donne trois jours pour me décider avant d'appuyer sur le bouton "delete".