dimanche 18 décembre 2011

Un troll ...

Eh oui, je suis tombé sur un troll dans les pages de FB... et j'ai eu le tort de vouloir discuter avec le troll. Pourquoi? Parce que (je le cite, le troll) : à l’approche du temps des Fêtes (chrétiennes ou nordiques*), force est de constater que ces données rejoignent néanmoins celle sur la neurobiologie de la charité...
Il ne manquait plus que ça - je m'en souviendrai la prochaine fois que je vois une lueur de bonté et de charité chez des êtres humains. Ce n'est que de la neurobiologie... ou quelque chose qui y ressemble.
Et c'est quoi, un troll? Je ne parle pas des individus qui mettent le bazar dans les forums d'Internet. Non, je parle des vrais trolls, les géants qui ont fabriqué les montagnes et les moyens que l'on appelait trolls des montagnes; il y en aurait aussi des plus petits, les vättar...tout dépend de leur origine.
Mais les trolls ne sont jamais sympathiques, que l'on se le dise. Et il vaut mieux ne pas trop les approcher, ils vous changent en pierre en moins de temps qu'il faut pour le dire.

mardi 13 décembre 2011

Vive les (bonnes) soeurs!

Entendu l'autre jour à la radio  :
 1) Les garçons qui ont grandi avec au moins une sœur seront des adultes plus indépendants et plus performants que les autres. En un mot, ils apparaissent plus aptes au bonheur que ceux qui n’ont pas de frangine.
2) A l’inverse, les garçons qui n’ont que des frères seraient les plus mal lotis, les moins bien préparés à affronter les rigueurs de la vie.


3) A tout prendre, et à défaut d’avoir une sœur, mieux vaudrait encore être fils unique que de se colleter un ou plusieurs frangins.
Peu importe. On sait désormais que sœur rime avec bonheur.
Et que l'exception ne fait que confirmer la règle...

jeudi 8 décembre 2011

Tout mais pas ça!

Vous pouvez appeler ceci ce que vous voulez - la démondialisation, du chauvinisme, de la beauferie... mais ça je n'accepte pas! Même si (comme madame Joly) je viens juste de descendre de mon Drakkar et même si nous avons de multiples liens avec l'Empire du Milieu: une petite fille et une nièce (ce qui veut sans doute dire toute une grande famille éloignée dans une province chinoise) - je n'accepterai pas ça. De l'ail de Chine! Je suis atterrée. Et dire que je rêve de l'ail rose acheté au marché de Carpentras, le vendredi matin. Je n'en ai pas eu depuis des lustres.  De l'Argentine, oui, et maintenant - horreur! l'ail vient de la Chine...

mercredi 7 décembre 2011

Traduire ou trahir?

Il me semble que monsieur Google et ses acolytes, qu'ils s'appellent Babel ou autre'chose, prennent de plus en plus leur place sur Internet et jusque dans les manuels destinés aux utilisateurs d'électroménager ou pire, de médicaments. On vous fournit des textes qu'il faut vraiment avoir fait des études poussées pour comprendre. Tout compte fait, il aurait peut-être mieux valu les laisser dans leur langue d'origine... ou se payer une traduction, une vraie.
Il ne faut pas oublier les trois étapes d'une traduction :
La compréhension du texte, le "gommage" des mots: le stade où l'on les oublie pour mieux les remplacer et leur trouver un sens et, pour finir, la reformulation.
Un vrai travail d'artisan... qu'il serait dommage de laisser faire par un robot.



Membres