lundi 10 octobre 2011

Lieu de perdition

Au propre comme au figuré - existe dans la plupart des grandes villes et attire surtout les hommes qui trouvent des prétextes divers et variés pour y aller - on y trouve de tout - comme à la Samaritaine au siècle dernier - et on en revient souvent tout content ayant dépensé l'argent du ménage en achetant des choses qui vont servir un jour...Je parle de Castorama, bien sûr, et que celle qui n'a jamais attendu que l'homme revienne de la chasse, de la mer ou tout simplement de Casto me jette la première truelle de plâtre... Je me prépare à attendre un bout de temps, nous sommes en automne et les humains se préparent à entrer en hibernation: rendre leurs logements confortables et qui sait, plus gais avant les baisses du mercure... Oh, quelle bourde, ce n'est pas politiquement correct de parler de mercure, substance banni entre toutes. Mais que fait on pour rendre inoffensif un baromètre type baromètre de Torricelli? Il y en a un, pendu au mur, je n'oserai jamais le déplacer parce que nous avons perdu le bouchon qui doit servir justement en cas de déplacement... Et puis flûte, pourquoi se faire du souci, après nous le déluge. Et tout ceci à cause des courses à Castorama...

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