Le temps qu'il fait, qu'il fera - sujet de conversation quand on n'a pas grand chose à se dire sauf à se dire que l'on n'y peut rien... Mais il y a eu un poète suédois, Lars Wivallius je crois, qui s'en plaignait déjà au dix septième siècle : un printemps froid et long donne un été trop court...
Ça tombe sous le sens - oui - mais je me sens volé.
Il y a des malheurs plus grands.
1 commentaire:
Salut,
Très joli blog!!!
Enregistrer un commentaire